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saray-love

19 mars 2007

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19 mars 2007

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19 mars 2007

@Altiplano: Ah tiens.. J'ai également lu

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@Altiplano: Ah tiens.. J'ai également lu Françoise Sagan mais il y a longtemps et dans le cadre scolaire. Quant à la photo de San Francisco, elle est de Thomas Hawks si mes souvenirs sont bons. Pour les rails, j'ai trouvé la photo sur le net sans désignation de la source.

19 mars 2007

love youssef

soha

19 mars 2007

196033684_small Comme ballottée au milieu des

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Comme ballottée au milieu des flots, le bus n°2 me suggère le mouvement à suivre. La circulation est difficile. Les corps s’accrochent, se frottent, sont déséquilibrés. La chaleur est étouffante en ce milieu d’après-midi. Les rayons du soleil sont violemment projetés contre les vitres. Les valises s’entrechoquent au sol. Arrêt Gare Centrale. Destination Lyon. Les cœurs s’arrêtent sur le quai n°4. Tristesse du retour à la réalité. Un silence pesant. Des wagons alignés en convoi. Seulement du métal qui à l’arrêt paraît tout aussi impuissant. Des hommes et des femmes qui se disent leurs derniers mots. Des parenrails_sous_la_pluie1ts présents. Le train démarre dans un roulement de métal régulier. Le tonnerre se met à gronder. Le ciel s’assombrit alors que le bruit des gouttes percutent le toit de fer. S’ensuit le ruissellement de la pluie sur les vitres. Les lumières du compartiment s’allument. Mon corps est au bord de l’épuisement. Je ferme les yeux l’espace d’un instant. Tout s’efface. Le soleil me sort de mon « sommeil ». Non. Il ne pleut pas. Seul mon cœur est inondé par la tristesse. Pas d’eau qui ruisselle sur les vitres, ni de sol détrempé aux alentours. 215247082_small215247082_small

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19 mars 2007

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19 mars 2007

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Elle est déchirée sur le côté. Froissée. Abimée. Une photo d'il y a quelques années sur laquelle se fige un moment d'intimité. L'instant me semble flou. Le temps a effacé la force de l'image. Une courte absence? Un oubli? Semble-t-il que je suis libre de ce moment à tout jamais.. Je ne sais plus pourquoi et comment le charme opérait, nonobstant le reflet émeraude dans mes yeux qui me laisse penser que ce jour devait être particulier. Comment ai-je pu oublier..
(la suite du texte bientôt)

La chanson que j'écoute: "Bitter sweet symphonie" The verve
Mes derniers instants cinématographiques: "Volver" P.Almodovar et "American DreamZ" P.Weitz
Le moment historique : Le 13 juin 1985, en Afrique du Sud, les relations sexuelles et la mariage entre personnes de couleurs différentes sont "décriminalisés".

19 mars 2007

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5530 am. Une silhouette longiligne se dessinait au coin de la 7ème avenue. Aucune caractéristique ne la différenciait des autres new-yorkaises, sauf un corps qui semblait ne plus la porter. Sa silhouette se confondait avec des ombres formées par la faible luminosité du jour. L’obscurité aurait presque pu gommer ses traits si les lampadaires de la ville ne s’étaient pas soudainement rallumés. Son corps recroquevillé tentait de se protéger du vent. Les éditions M. n’étaient plus si loin. 7:40 am. Ses mainjessicakuncl.newyorkmodelmanagement2s s’agrippaient violemment aux poches de son tweed. Le silence n’était brisé que par le claquement métallique du fermoir de la serviette en cuir qu’elle serrait contre elle. Les feuilles mortes craquaient sous ses pas alors que d’autres, détrempées, devenaient l’objet d’un terrain glissant. 7:50 am. Les éditions M. occupaient l’immeuble au coin de la 46ème rue et de la 7ème avenue. Des échos disaient que le Président Washington, lui-même, avait prononcé un discours dans ces lieux. Il n’en était sûrement rien. Inutile de se disperser à de telles pensées. 7:55 am. Une dizaine de marches se dessinaient à ses yeux. La porte en chêne semblait épaisse, mais aucunement fermée.

Il s'agit d'un extrait d’un de mes rêves, sachant que j'y ai rajouté des détails. Je ne sais pas les interpréter et encore moins lorsqu'il s'agit des miens, mais si ça vous tente, lachez vos commentaires...!

18 mars 2007

love

renouxLe grincement de la porte nous avait sorti du silence. Les pas s’entendaient depuis l’escalier où commençaient les craquements du plancher. Rien ne dissimulait leur arrivée. A ces moments là, je m’éclipsais par une autre porte lorsque la première s’ouvrait. Cette famille qui n’était pas la mienne pouvait bien me voler quelques moments d’intimité, je m’en foutais. A cette époque, je n’étais pas exigeante sur les quelques moments qu’il passait en famille. Je m’étais réservée une ou deux soirées par semaine et puis, quelque fois, nous nous autorisions un week-end dans la maison de campagne de ses parents. Au calme. Là, il se permettait de me bousculer au réveil. Juste pour m’embêter. Je grognais. Un peu. Attentionné, il remontait le drap sur mes reins. Se levait. Me préparait le petit déjeuner...
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18 mars 2007

saray

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